ATTENTION : Toute ressemblance avec des faits réels vénissians ne serait que pure et fortuite coïncidence.
Dans l'émission Enquête exclusive "De l'autre côté du périph' : Saint-Denis, la ville aux deux visages" diffusée le 15 janvier 2017 sur M6, on peut y voir et entendre un jeune propriétaire, empêché de vendre son bien, déclarer que la municipalité communiste cherche à décourager les foyers plus aisés de s'installer dans la ville. Il explique en clair : "C'est une politique de ghettoïsation. Ici on critique toujours les villes riches qui ne veulent pas de pauvre ou de logements sociaux[...] mais on oublie souvent que des villes comme Sainte Denis ne veulent pas de cadres moyens, ce n'est pas leur électorat". Et de poursuivre : "Les cadres moyens ne votent pas communiste". Le commentateur s'interroge alors : "La politique mise en œuvre par les élus de Saint Denis a-t-elle pour objectif de favoriser l'accueil des populations plus démunies, plus promptes à voter communiste ?".
En guise de réponse, il rappelle qu'il y a quelques années, Stéphane PEU, bras droit du maire communiste de Saint Denis, avait déclaré dans un hebdomadaire français : "Encore 5000 foyers bobos à Saint Denis et nous perdons la ville" [pour une ville de 75.000 habitants].
Située dans la proche banlieue au nord-est de Paris, la ville communiste de Saint-Denis souffre d'une réputation sulfureuse : chômage, misère, violence, trafic de drogue, tensions communautaires,… Décidément, toute ressemblance avec des faits réels vénissians ne serait que pure et fortuite coïncidence... (cf. Vénissieux, championne de la pauvreté ! Carton ROUGE pour Mme Picard)
Dans l'émission Enquête exclusive "De l'autre côté du périph' : Saint-Denis, la ville aux deux visages" diffusée le 15 janvier 2017 sur M6, on peut y voir et entendre un jeune propriétaire, empêché de vendre son bien, déclarer que la municipalité communiste cherche à décourager les foyers plus aisés de s'installer dans la ville. Il explique en clair : "C'est une politique de ghettoïsation. Ici on critique toujours les villes riches qui ne veulent pas de pauvre ou de logements sociaux[...] mais on oublie souvent que des villes comme Sainte Denis ne veulent pas de cadres moyens, ce n'est pas leur électorat". Et de poursuivre : "Les cadres moyens ne votent pas communiste". Le commentateur s'interroge alors : "La politique mise en œuvre par les élus de Saint Denis a-t-elle pour objectif de favoriser l'accueil des populations plus démunies, plus promptes à voter communiste ?".
En guise de réponse, il rappelle qu'il y a quelques années, Stéphane PEU, bras droit du maire communiste de Saint Denis, avait déclaré dans un hebdomadaire français : "Encore 5000 foyers bobos à Saint Denis et nous perdons la ville" [pour une ville de 75.000 habitants].
Située dans la proche banlieue au nord-est de Paris, la ville communiste de Saint-Denis souffre d'une réputation sulfureuse : chômage, misère, violence, trafic de drogue, tensions communautaires,… Décidément, toute ressemblance avec des faits réels vénissians ne serait que pure et fortuite coïncidence... (cf. Vénissieux, championne de la pauvreté ! Carton ROUGE pour Mme Picard)
2 commentaires:
Les communistes aiment les pauvres comme les carnivores aiment la viande.
On parle de carnivores ou de cannibales ?
Avec 100 million de morts la question se pose...
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