Communiqué de presse
Impôts
idéologiques particulièrement ressentis dans le quartier du Laquay
Exaspération toujours présente dans les immeubles du Monery
Dans la continuité des précédentes, cette nouvelle visite (samedi 6 juillet 2013) a été consacrée au quartier du Laquay et aux tours de Monery. Les membres de l'équipe présents ce matin ont été très heureux de mieux connaître ces quartier et les rencontres avec les habitants ont, encore une fois, été riches d'enseignements [1].
Exaspération toujours présente dans les immeubles du Monery
Dans la continuité des précédentes, cette nouvelle visite (samedi 6 juillet 2013) a été consacrée au quartier du Laquay et aux tours de Monery. Les membres de l'équipe présents ce matin ont été très heureux de mieux connaître ces quartier et les rencontres avec les habitants ont, encore une fois, été riches d'enseignements [1].
En
"avant-première" nous vous livrons quelques uns des points
saillants relevés lors de la visite :
- Deux points ont particulièrement été récurents lors de nos rencontres dans le quartier du Laquay :
Les impôts jugés excessifs et disproportionnés par rapport à la très faibles implication des services communaux dans ce quartier. Il est bon de rappeler que très vite taxé de "riches", ces propriétaires sont pourtant pour une grande majorité des anciens ouvriers de RVI, des ouvriers du bâtiment, de simples salariés. Pour un nombre non négligeable, ce sont eux-mêmes qui ont construit tout ou partie de leur maison...[2]
Le constat au quotidien de véhicules allant à une vitesse excecive sur le chemin du Laquay, malgrè le ralentisseur. Une source de danger non négligeable, que vient aggraver le passage de nombreux poids lourds par une route qui n'y est pas adaptée.
- Un point commun aux deux lieux visités : la faiblesse de la desserte en termes de transports et l'inexistence de commerces de premières nécessités, qui seraient pourtant nécessaire compte tenu du vieillissement d'une part significative de la population.
- Enfin, pour le quartier de Monery l'exaspération est descendue d'un cran du fait des travaux de réparations (dégâts de l'incendie), mais est toujours présente par la persistance des insuffisances de la Sacoviv (par exemple, poubelles non ramassées car non mise en bord de route et qui, au pied des fenêtres, exhalent leur "parfum" sous la forte chaleur de cette journée. Il est également noté la constance chez les locataires de la peur insidieuse d'une récidive du (ou des) pyromane(s).
Les éléments recueillis lors de la visite feront très prochainement l'objet d'un Compte Rendu illustré de photos (+ verbatim des habitants) qui sera diffusé à Mme le Maire et publié sur le blog http://venissieuxaudace2014.fr
[1] Pour mémoire - Ces visites ont un triple objectif :
- assurer notre rôle d'élu en allant à la rencontre et à l'écoute des vénissians au plus près de leurs préoccupations quotidiennes (échanges constructifs avec les habitants et les commerçants du quartier),
- exercer l'équipe à une gestion municipale de proximité et sur le terrain, tester les réflexes quand à l'identification et la gestion des dysfonctionnements d'un quartier,
- faire connaître ce quartier à ceux de l'équipe qui n'y habitent pas, afin de développer une connaissance de l'ensemble des quartiers de Vénissieux et de leurs spécificités.
[2] Il est éloquent de constater que dans les 20 villes de l'agglomération lyonnaise, Vénissieux se situe parmi les cinq villes dont la pression fiscale est la plus élevée. Preuve qu'il s'agit d'un impôt idéologique, sur ces 5 villes, une est socialiste et 4 sont des "bastions" communistes (Vénissieux, Givors, Pierre-Bénite et Vaulx-en-Velin…).
- Deux points ont particulièrement été récurents lors de nos rencontres dans le quartier du Laquay :
Les impôts jugés excessifs et disproportionnés par rapport à la très faibles implication des services communaux dans ce quartier. Il est bon de rappeler que très vite taxé de "riches", ces propriétaires sont pourtant pour une grande majorité des anciens ouvriers de RVI, des ouvriers du bâtiment, de simples salariés. Pour un nombre non négligeable, ce sont eux-mêmes qui ont construit tout ou partie de leur maison...[2]
Le constat au quotidien de véhicules allant à une vitesse excecive sur le chemin du Laquay, malgrè le ralentisseur. Une source de danger non négligeable, que vient aggraver le passage de nombreux poids lourds par une route qui n'y est pas adaptée.
- Un point commun aux deux lieux visités : la faiblesse de la desserte en termes de transports et l'inexistence de commerces de premières nécessités, qui seraient pourtant nécessaire compte tenu du vieillissement d'une part significative de la population.
- Enfin, pour le quartier de Monery l'exaspération est descendue d'un cran du fait des travaux de réparations (dégâts de l'incendie), mais est toujours présente par la persistance des insuffisances de la Sacoviv (par exemple, poubelles non ramassées car non mise en bord de route et qui, au pied des fenêtres, exhalent leur "parfum" sous la forte chaleur de cette journée. Il est également noté la constance chez les locataires de la peur insidieuse d'une récidive du (ou des) pyromane(s).
Les éléments recueillis lors de la visite feront très prochainement l'objet d'un Compte Rendu illustré de photos (+ verbatim des habitants) qui sera diffusé à Mme le Maire et publié sur le blog http://venissieuxaudace2014.fr
[1] Pour mémoire - Ces visites ont un triple objectif :
- assurer notre rôle d'élu en allant à la rencontre et à l'écoute des vénissians au plus près de leurs préoccupations quotidiennes (échanges constructifs avec les habitants et les commerçants du quartier),
- exercer l'équipe à une gestion municipale de proximité et sur le terrain, tester les réflexes quand à l'identification et la gestion des dysfonctionnements d'un quartier,
- faire connaître ce quartier à ceux de l'équipe qui n'y habitent pas, afin de développer une connaissance de l'ensemble des quartiers de Vénissieux et de leurs spécificités.
[2] Il est éloquent de constater que dans les 20 villes de l'agglomération lyonnaise, Vénissieux se situe parmi les cinq villes dont la pression fiscale est la plus élevée. Preuve qu'il s'agit d'un impôt idéologique, sur ces 5 villes, une est socialiste et 4 sont des "bastions" communistes (Vénissieux, Givors, Pierre-Bénite et Vaulx-en-Velin…).
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