Les vénissians et plus particulièrement les salariés de la SACOVIV apprécieront la désinvolture de Mme Ebesrviller qui explique dans le progrès (
article du 18 oct. 2012), en réponse à la situation alarmante du personnel de la structure dont elle a la responsabilité que ce "
courrier de la médecine du travail s'inscrit dans un processus normal". Cela est à mettre en rapport direct avec l'écrit du médecin qui précise : "depuis ma première alerte en 2009, la situation s'est aggravée, elle est alarmante et malheureusement aucune évaluation, concertation n'a été conduite pour permettre une amélioration des conditions de travail". Voilà le processus normal !
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Tout au long de son interview, Mme Ebersviller tend à relativiser la portée des interpellations de la médecine du travail pourtant d'une gravité extrême. Mme Ebersivller confirme et démontre la justesse des propos de la fin de mon communiqué de presse quand je disais : "Cela manifeste l'incroyable capacité de dénie et de mensonge éhonté de Mme le Maire et de ses
acolytes. Rappelons qu'il est fait mention d'une mise en péril de
la
santé mentale et secondairement physique de leurs salariés. Un tel niveau
de cynisme me fait froid dans le dos !". Je persiste et signe.
Christophe GIRARD
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