Dans un article précédant (cf. ci-dessous), nous relations une de nos interventions faites lors du Conseil Municipal du 16 juin 2009 au sujet de ces nouvelles chaudières bois. Nous nous y inquiétions de lire dans le rapport que "cette reconstruction sera financée en majeure partie par les indemnités obtenues dans le cadre de la procédure judiciaire en cours". Nous interrogions alors la municipalité : "En écrivant cela, n'êtes vous pas en train de gager la peau de l'ours avant même de l'avoir vu ?"
Cela nous avait amené à poser deux questions avant de nous prononcer sur ce rapport :
1) Quelle garantie a-t-on d'avoir gain de cause dans cette affaire ? Peut-on préjuger de la décision de justice ?
2) Sachant que ce que l'on nomme "la majeure partie" commence à partir de 51% et peut aller presque jusqu'à 100%, à combien estime-t-on la couverture des frais par l'indemnité ?
Cela nous avait amené à poser deux questions avant de nous prononcer sur ce rapport :
1) Quelle garantie a-t-on d'avoir gain de cause dans cette affaire ? Peut-on préjuger de la décision de justice ?
2) Sachant que ce que l'on nomme "la majeure partie" commence à partir de 51% et peut aller presque jusqu'à 100%, à combien estime-t-on la couverture des frais par l'indemnité ?
Nous n'avions alors, comme à l'habitude, pas obtenu de réponse... et pour cause ! Aujourd'hui, soit, dix huit mois plus tard, alors que les chaudières sont lancées, nous apprenons que l'investissement de 6,5 millions pré-financé par Dalkia-SECV est toujours dans l'attente d'un jugement pour déterminer les responsabilités du fiasco de la première installation. Le progrès d'aujourd'hui parle même du montant "d'éventuelles indemnités". Ce manque d'assurance ne peut qu'inquiété les vénissians. Qui paiera le facture de ce fiasco si ces "éventuelles" indemnités sont refusées ?!
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