Hier au soir, lors du Conseil municipal, interpellée au sujet de son odieuse mise au ban de Maxime Kyrszak (cf. article Maxime Kyrszak, fusillé pour l'exemple ?), Mme Picard n'a pas trouver mieux pour se justifier que d'affirmer en public qu'au-delà de la fameuse "agression" ce monsieur était insupportable à ses yeux car il osait remettre en question le fonctionnement de l'OMR et notamment la mainmise de la municipalité sur cet organisme...
Oser critiquer un système totalitaire... voilà ce qui vaut à cet impudent octogénaire son lynchage public. Emportée par sa haine sectaire, Mme le Maire s'est "pris les pieds dans le tapis" et nous à servit sur un plateau les basfonds de ses pulsions dans cette "affaire municipale". Il s'agit ni plus ni moins que du despotisme d'une équipe municipale incapable de dialoguer et d'accepter la critique !
Cette incapacité est le fait d'idéologues intransigeants qui ne voient dans quelque remise en cause que ce soit, qu'une intolérable attaque contre leur idéologie. Idéologie qui est érigée en absolu. Aucun châtiment n'est alors assez fort pour punir, voire éliminer, ceux qui se mettent en travers de cet absolu. Nous avons là l'explication de cet ignoble acharnement sur ce bénévole et la démonstration, en "modèle réduit", de comment un régime mu par une telle idéologie peut conduire à des massacres. Cela fait froid dans le dos...
Nota : Voir également l'intégralité de notre intervention traitant des fausses priorités de la municipalité en matière de sécurité, incluant notamment, ses règlement de compte avec Maxime Kyrszak. cf. Sécurité à Vénissieux : la première chose serait de ne pas se tromper de priorité
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