samedi 13 juillet 2013

M. Guyard devait servir de fusible pour protéger le système, mais déception, même sous haute tension le fusible ne fond pas !

Le remake !
Le dossier de la SACOVIV va de rebondissements en rebondissements. Le dernier en date est le fait d'arme de deux élus PS courageux (en dissidence) de la majorité municipale et membre du Conseil d'Administration qui réclament la démission de Mme Ebersviller. Mme Samia Hamdiken-Ledesert et M. Mokrane Kessi dénoncent une "pagaille" sans précédent. Et déclarent que "Mme Ebersviller a perdu toute crédibilité" (cf. article du Progrès du 10 juillet 2013).
Même le très docile M. Lotfi Ben Khelifa (PS), dont tout démontre que l’appât de la gamelle fait qu'il est déjà acquis (soumis) à l'idée de reconduire en 2014 l'union PC-PS, se sent dans l'obligation, pour faire bonne figure devant les vénissians, de se désolidariser timidement des communistes sur ce sujet et de déclarer "s'interroger sur un éventuel retrait du CA" de sa part. Dans son cas on peut se demander où est la cohérence de sa déclaration quand en même temps il l'introduit par un rappel de la sacro-sainte alliance entre le PC et le PS. Cela sent la politique politicienne à plein nez ! Mais dont-acte. Ce que je retiendrais de tout cela c'est que Mme le Maire et Mme Ebersviller sont désavoué par leur propre camp. La vérité de ces dysfonctionnements est telle que tous ont conscience que cela peut nuire à leur image (y compris Mme le Maire qui, bien que tardivement, a cautionné le départ du directeur !). Qu'en est-il donc des accusations de mensonge et de mauvaises foi à mon encontre pour avoir depuis tant d'années dénoncé les dysfonctionnements de la SACOVIV ?
Les vénissians jugeront par eux-même où sont les menteurs et les gens de mauvaise foi, alors que tous montrent que mon combat pour le personnel et les locataires de la Sacoviv était juste et fondé ?



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