Communiqué de presse
C'est en tant que Conseiller Municipal (Divers Droite) de Vénissieux et non plus en tant que candidat aux élections législatives que M. Christophe GIRARD s'est rendu en fin de matinée à la rencontre du personnel de la mairie et de ses représentants. Ceux-ci manifestaient devant le parvis contre les modalités de mise en place du régime indemnitaire fixées par Mme le Maire.
Il a pu s'entretenir avec les uns et les autres, entendre les revendications et surtout l'exaspération du personnel : "Même si comme je l'ai toujours dit et encore ce matin, je ne ferai pas "copain-copain" avec la CGT, même si je ne suis pas a priori opposé au principe du régime indemnitaire, c'est l'incohérence des propositions de Mme le Maire, sa méthode et son absence totale de dialogue qui sont inadmissibles". "Lorsque l'on entend (ou lit) les propos des agents, on a du mal à en croire ses oreilles !".
Il n'y a pas de doute, cette incapacité notoire au dialogue est le fruit du sectarisme et démontre, une fois de plus, les grandes limites d'un pouvoir soi-disant proche du peuple et des travailleurs. "En tant que professionnel des relations humaines, je constate et regrette la totale incapacité de Mme le Maire à entrer dans un dialogue social assumé et constructif avec le personnel de sa ville". "J'en suis certain et peux déjà l'affirmer, lorsque nous apporterons enfin le changement à la tête de la Mairie, nous en surprendrons plus d'un par la franchise et la qualité de notre dialogue social. Le dialogue social n'est pas une option, mais une nécessité. En 2008, nous expliquions déjà dans nos tracts de campagne que des agents de la ville respectés, reconnus et motivés étaient une nécessité pour un service de qualité et le bien être de tous, usagers et agents".
Voir article paru le 22 juin 2012 dans le Progrès
Il a pu s'entretenir avec les uns et les autres, entendre les revendications et surtout l'exaspération du personnel : "Même si comme je l'ai toujours dit et encore ce matin, je ne ferai pas "copain-copain" avec la CGT, même si je ne suis pas a priori opposé au principe du régime indemnitaire, c'est l'incohérence des propositions de Mme le Maire, sa méthode et son absence totale de dialogue qui sont inadmissibles". "Lorsque l'on entend (ou lit) les propos des agents, on a du mal à en croire ses oreilles !".
Il n'y a pas de doute, cette incapacité notoire au dialogue est le fruit du sectarisme et démontre, une fois de plus, les grandes limites d'un pouvoir soi-disant proche du peuple et des travailleurs. "En tant que professionnel des relations humaines, je constate et regrette la totale incapacité de Mme le Maire à entrer dans un dialogue social assumé et constructif avec le personnel de sa ville". "J'en suis certain et peux déjà l'affirmer, lorsque nous apporterons enfin le changement à la tête de la Mairie, nous en surprendrons plus d'un par la franchise et la qualité de notre dialogue social. Le dialogue social n'est pas une option, mais une nécessité. En 2008, nous expliquions déjà dans nos tracts de campagne que des agents de la ville respectés, reconnus et motivés étaient une nécessité pour un service de qualité et le bien être de tous, usagers et agents".
Voir article paru le 22 juin 2012 dans le Progrès
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