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| Sauvetage [communiste] ! |
Imaginez que toutes nos initiatives aboutissent au redémarrage de Veninov. Quelle joie serait la notre !
Imaginez maintenant l’impact désastreux de la prise de parole d’une Mme X qui à l’autre bout de la France mettrait le doute sur le repreneur.
C’est pourtant ce que vient de faire Madame Picard au sujet de la reprise des Fonderies du Poitou par Saint-Jean Industrie…. A la mauvaise école des méthodes de M. Gérin, Mme Picard cherche à faire de la notoriété à tout prix, même au prix de la casse sociale ! Mais il est vrai que pour entretenir le clientélisme révolutionnaire, rien de tel qu’une bonne suspicion et des coups de gueules faciles.
Il est évident que le passé récent vécu à Vénissieux avec le groupe Saint-Jean Industrie est une vraie douleur (108 salariés de la fonderie de Vénissieux, licenciés il y a 3 ans), mais a-t-on le droit d’instrumentaliser cette douleur et de jouer sur les peurs pour faire de la politique politicienne ?
Dans le cas de Vénissieux en 2003, Saint Jean Industrie n’avait pas de garanties du client principal Volvo Trucks. Ce dernier a ensuite pris la crise du camion de plein fouet. Le cas de la Fonderie du Poitou n’est a priori pas le même : Renault a apporté des garanties de production et le dossier a bénéficié de nombreux soutiens politiques, tant de l’État que de la Région. Le repreneur aura également droit à une aide à la réindustrialisation de huit millions d’euros.
Tout cela amène à une autre question, au sujet des répercutions locales de l’inconséquence de Madame le Maire [et accessoirement candidate aux législatives...]. En effet, croyez-vous que de tels comportements soient de nature à rassurer M. Windhager, PDG du groupe autrichien Windhager-Garden candidat à la reprise de Veninov ? Je trouve que Madame le maire prend des risques inconsidérés vis-à-vis Veninov et cela, selon toute vraisemblance pour seulement se faire un coup de pub à bon compte ! Rien de tel pour couper les ailes de toute personne essayant de s’impliquer pour la cause de Veninov. Il est vrai que si Veninov meurt définitivement cela apportera de l’eau au moulin de la lutte idéologique. Les salariés de Veninov apprécieront la situation au regard des enjeux qui les concernent directement…
Imaginez maintenant l’impact désastreux de la prise de parole d’une Mme X qui à l’autre bout de la France mettrait le doute sur le repreneur.
C’est pourtant ce que vient de faire Madame Picard au sujet de la reprise des Fonderies du Poitou par Saint-Jean Industrie…. A la mauvaise école des méthodes de M. Gérin, Mme Picard cherche à faire de la notoriété à tout prix, même au prix de la casse sociale ! Mais il est vrai que pour entretenir le clientélisme révolutionnaire, rien de tel qu’une bonne suspicion et des coups de gueules faciles.
Il est évident que le passé récent vécu à Vénissieux avec le groupe Saint-Jean Industrie est une vraie douleur (108 salariés de la fonderie de Vénissieux, licenciés il y a 3 ans), mais a-t-on le droit d’instrumentaliser cette douleur et de jouer sur les peurs pour faire de la politique politicienne ?
Dans le cas de Vénissieux en 2003, Saint Jean Industrie n’avait pas de garanties du client principal Volvo Trucks. Ce dernier a ensuite pris la crise du camion de plein fouet. Le cas de la Fonderie du Poitou n’est a priori pas le même : Renault a apporté des garanties de production et le dossier a bénéficié de nombreux soutiens politiques, tant de l’État que de la Région. Le repreneur aura également droit à une aide à la réindustrialisation de huit millions d’euros.
Tout cela amène à une autre question, au sujet des répercutions locales de l’inconséquence de Madame le Maire [et accessoirement candidate aux législatives...]. En effet, croyez-vous que de tels comportements soient de nature à rassurer M. Windhager, PDG du groupe autrichien Windhager-Garden candidat à la reprise de Veninov ? Je trouve que Madame le maire prend des risques inconsidérés vis-à-vis Veninov et cela, selon toute vraisemblance pour seulement se faire un coup de pub à bon compte ! Rien de tel pour couper les ailes de toute personne essayant de s’impliquer pour la cause de Veninov. Il est vrai que si Veninov meurt définitivement cela apportera de l’eau au moulin de la lutte idéologique. Les salariés de Veninov apprécieront la situation au regard des enjeux qui les concernent directement…
2 commentaires:
bonsoir,
concernant Véninov, je pense que les élus locaux ainsi que les pouvoirs publics ont fait ensemble ce qu'il fallait pour que cette usine vive.
les 1ère personnes à avoir fait que tout cela se passe sont les salariés qui ont lutté pour ça.
le 1er réflèxe a été d'aller voir leur maire (qui a tout de suite pris le dossier très à coeur).
un comité de soutient à été créé et la machine était lancé.si Véninov redémarre, ce n'est pas grace uniquement, ni au préfet ni aux élus locaux, ni aux salariés mais à tous cet ensemble réuni.
et quoi que vous puissiez dire, notre maire et notre député ont beaucoup aidé à ce que ce dossier avance
et aucun des salariés ne pensent que le repreneur peu avoir peur des propos sur st Jean industrie.
cordialement,
steph.
Il est vrai qu'en crachant toujours sur le capitalisme avec le marteau et la faucille, il y a de quoi avoir peur d’investir ! Mais le paradoxe, c'est que ces mêmes gens recherchent continuellement des investisseurs !
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