A Vénissieux, "il faut faire payer les riches", mais qui sont-ils ?
La crise économique que nous vivons est loin d'être finie. Par ailleurs il est évident, que l'on soit d'accord ou non avec les politiques menées au plan national et européen, que les années qui viennent ne seront pas des années fastes. Que l'on hurle ou pas, quelques soient les utopies mises en avant, c'est hélas une évidence, une donnée incontournable.
Pour ce qui concerne la gestion de Vénissieux, il serait donc indispensable de nous adapter à cette situation. Il faudrait repenser en profondeur notre gestion de la ville pour faire au mieux avec ce que l'on a.
Or au lieu de cela, votre solution est le recours immédiat à l'augmentation des impôts. Mais alors comment ferez-vous les années suivantes ? Mais il est vrai que les impôts à Vénissieux sont avant tout idéologiques. A Vénissieux, il faut faire "payer les riches", notamment par la taxe foncière.
Le palmarès publié ces derniers jours par Mag2Lyon qui compare les 20 villes de l'agglomération lyonnaise est éloquent à ce sujet : Vénissieux se situe parmi les cinq villes dont la pression fiscale est la plus élevée.
Pour preuve que les impôts sont avant tout idéologiques, nous relèverons que bizarrement, sur ces cinq villes pour lesquelles la pression fiscale est la plus élevée, 1 est socialiste et 4 sont détenues par des municipalités communistes. Des villes qui n'ont pourtant vraiment rien d'un eldorado capitaliste : Vénissieux, Givors, Pierre-Bénite et Vaulx-en-Velin…
Donc dans ces villes il faut "faire payer les riches", mais à Vénissieux qui sont ces riches propriétaires?
Dans leur grande majorité, ce sont les anciens ouvriers de RVI, des ouvriers du bâtiment, de simples salariés. Pour un nombre non négligeable, ce sont eux qui ont construit eux-mêmes tout ou partie de leur maison. Voilà les riches capitalistes qu'il faut taxer !
Avec de tels raisonnements vous ruinez toute dynamique de mixité sociale. Mais il est également vrai que pour vous ce qui compte ce n'est pas la mixité sociale, mais l'opposition sociale dans la lutte des classes. La plupart de vos communications et interventions sont éloquentes à ce sujet.
Nous voterons donc contre cet impôt idéologique qui ne règlera pas les problèmes auxquels devrait pourtant faire face notre ville.
Pour ce qui concerne la gestion de Vénissieux, il serait donc indispensable de nous adapter à cette situation. Il faudrait repenser en profondeur notre gestion de la ville pour faire au mieux avec ce que l'on a.
Or au lieu de cela, votre solution est le recours immédiat à l'augmentation des impôts. Mais alors comment ferez-vous les années suivantes ? Mais il est vrai que les impôts à Vénissieux sont avant tout idéologiques. A Vénissieux, il faut faire "payer les riches", notamment par la taxe foncière.
Le palmarès publié ces derniers jours par Mag2Lyon qui compare les 20 villes de l'agglomération lyonnaise est éloquent à ce sujet : Vénissieux se situe parmi les cinq villes dont la pression fiscale est la plus élevée.
Pour preuve que les impôts sont avant tout idéologiques, nous relèverons que bizarrement, sur ces cinq villes pour lesquelles la pression fiscale est la plus élevée, 1 est socialiste et 4 sont détenues par des municipalités communistes. Des villes qui n'ont pourtant vraiment rien d'un eldorado capitaliste : Vénissieux, Givors, Pierre-Bénite et Vaulx-en-Velin…
Donc dans ces villes il faut "faire payer les riches", mais à Vénissieux qui sont ces riches propriétaires?
Dans leur grande majorité, ce sont les anciens ouvriers de RVI, des ouvriers du bâtiment, de simples salariés. Pour un nombre non négligeable, ce sont eux qui ont construit eux-mêmes tout ou partie de leur maison. Voilà les riches capitalistes qu'il faut taxer !
Avec de tels raisonnements vous ruinez toute dynamique de mixité sociale. Mais il est également vrai que pour vous ce qui compte ce n'est pas la mixité sociale, mais l'opposition sociale dans la lutte des classes. La plupart de vos communications et interventions sont éloquentes à ce sujet.
Nous voterons donc contre cet impôt idéologique qui ne règlera pas les problèmes auxquels devrait pourtant faire face notre ville.
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