Alors que j'intervenais au conseil municipal au sujet de l'incapacité de la municipalité actuelle à entrer en dialogue avec les contre-pouvoir (syndicats et associations de défense des locataires)[1], Mme le maire s'est acharnée à en faire la démonstration !
Par ses cris continus elle m'a interrompu en plein milieu de mon intervention, rendant inaudible mon discours, tout en faisant couper sauvagement mon micro par le technicien. Elle a alors commencé la lecture du premier rapport. Étant donné la gravité de celui-ci (lapidation de Mme Sakineh en Iran), il m'était devenu impossible de continuer… à parler des principes de la démocratie !
Un acharnement qui avait commencé quelques jours plus tôt quand ayant fait une demande pour intervenir en fin de séance (Question Orale), Mme le Maire avait tout simplement abusivement refusé. Prétextant "qu'il s'agit d'un combat politique" (ah bon !) et comble de malhonnêteté, "que le conseil traite des dossiers de la ville et ne peut être la tribune d'une campagne électorale"[2]. Des propos totalement inappropriés concernant mon texte (qui traite de ce qui se passe à Vénissieux et seulement à Vénissieux), mais des propos combien vrais pour elle-même !
C'est vraiment l'hôpital qui se fout de la charité : la quasi totalité des interventions de nos amis (et même la rédaction de nombreux rapports du conseil !) ne sont que des discours idéologiques de politique nationale. Mais, il est vrai que les sectaires ne sont jamais concernés par leur propre propos (puisque la règle n°1est qu'ils ont raison et que la fin justifie les moyens !). Leur culot est impressionnant car depuis des années, je n'ai de cesse de dénoncer leurs discours aussi longs, qu'inutiles et hors sujet, et qui permettent à nos apparatchiks municipaux de fuir leur responsabilité, d'évité le débat local et de travailler à l'avènement du grand soir.
Christophe GIRARD - Président du Groupe
[1] Cf. article ci-dessous : La Mairie est-elle capable d'accepter un contre pouvoir ?
[2] Cf. lettre de refus de Mme Picard du 24 sept 2010
Par ses cris continus elle m'a interrompu en plein milieu de mon intervention, rendant inaudible mon discours, tout en faisant couper sauvagement mon micro par le technicien. Elle a alors commencé la lecture du premier rapport. Étant donné la gravité de celui-ci (lapidation de Mme Sakineh en Iran), il m'était devenu impossible de continuer… à parler des principes de la démocratie !
Un acharnement qui avait commencé quelques jours plus tôt quand ayant fait une demande pour intervenir en fin de séance (Question Orale), Mme le Maire avait tout simplement abusivement refusé. Prétextant "qu'il s'agit d'un combat politique" (ah bon !) et comble de malhonnêteté, "que le conseil traite des dossiers de la ville et ne peut être la tribune d'une campagne électorale"[2]. Des propos totalement inappropriés concernant mon texte (qui traite de ce qui se passe à Vénissieux et seulement à Vénissieux), mais des propos combien vrais pour elle-même !
C'est vraiment l'hôpital qui se fout de la charité : la quasi totalité des interventions de nos amis (et même la rédaction de nombreux rapports du conseil !) ne sont que des discours idéologiques de politique nationale. Mais, il est vrai que les sectaires ne sont jamais concernés par leur propre propos (puisque la règle n°1est qu'ils ont raison et que la fin justifie les moyens !). Leur culot est impressionnant car depuis des années, je n'ai de cesse de dénoncer leurs discours aussi longs, qu'inutiles et hors sujet, et qui permettent à nos apparatchiks municipaux de fuir leur responsabilité, d'évité le débat local et de travailler à l'avènement du grand soir.
Christophe GIRARD - Président du Groupe
[1] Cf. article ci-dessous : La Mairie est-elle capable d'accepter un contre pouvoir ?
[2] Cf. lettre de refus de Mme Picard du 24 sept 2010
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