Le journal Expressions de Vénissieux fêtait ses 20 ans vendredi dernier. Ayant été dûment invité en tant qu'élu, je me suis rendu à cet évènement qui concernait notre ville. A la fin des discours d'introduction j'ai été poursuivi par les vociférations haineuses de Mme Peytavin, Première adjointe et désormais Présidente du Conseil d'Administration du journal ! Mon crime de lèse majesté ? Avoir osé critiquer en conseil municipal le fait que la mairie ne permettait pas (et ne permet toujours pas) à l'opposition d'avoir une page pour s'exprimer comme cela se conçois en démocratie ! Pour ce crime, Mme Peytavin déclamait à qui veut l'entendre que je devrais avoir honte, qu'il devrait m'être, en quelque sorte, interdit de saluer l'équipe du Journal !
Je tiens cependant à souligné, en espérant que cela ne leur sera pas trop durement reproché par leur "très objective" présidente, que tous les membres de l'équipe que j'ai salué m'ont rendu cordialement leur salutation. Il y a même eu un membre de l'équipe qui, dans un esprit de pluralité, est venu vers moi pendant la soirée pour m'exprimer sa reconnaissance et même sa joie de me voir présent pour cet anniversaire... Heureusement que l'aveuglement n'est pas aussi partagé que voudrait le croire la Présidente du CA du journal... mais son sectarisme affiché semble être un indicateur d'ambiance significatif(1).
Christophe GIRARD
(1) La même personne est première adjointe, est en charge de la Culture, est présidente du journal d'information de la Ville et ne semble pouvoir concevoir que l'opposition puisse s'y exprimer librement, etc. Cela pourrait rappeler d'autres régimes encore idéalisés à Vénissieux...
Christophe GIRARD
(1) La même personne est première adjointe, est en charge de la Culture, est présidente du journal d'information de la Ville et ne semble pouvoir concevoir que l'opposition puisse s'y exprimer librement, etc. Cela pourrait rappeler d'autres régimes encore idéalisés à Vénissieux...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire