Une personne habitant le quartier Moulin à Vent fait suite à notre article :
"Cela m'amène à un certain nombre de réflexions : pour la plupart, les jeunes viennent là en voiture. Or alcool + voiture (+drogue ?) ne font pas bon ménage. Il y a donc là un risque potentiel pour eux et pour nous. Toujours est-il que la place n'est pas nettoyée le dimanche et qu'il a fallu attendre lundi matin".
"J'en ai discuté avec une jeune femme qui a deux petites filles. Elle vient régulièrement au square et m'a dit qu'il fallait être très vigilant car il y a des bouteilles d'alcool encore à moitié pleines et beaucoup de verre cassé. Il y a donc là aussi un risque potentiel pour les jeunes enfants."
Les demandes des habitants pour faire intervenir le TOP on été refoulées : "le TOP intervient pendant les heures de bureau" aurait répondu M. Falconnet, Président du TOP.
Il semblait pourtant qu'il y avait là une bonne action de prévention à mettre en place.
La personne me précise enfin : "Ne croyez pas que vous soyez le premier à qui j'en parle. J'ai essayé d'en parler au conseil de quartier mais ce jour là, on m'avait priée de partir sous prétexte que leurs réunions n'étaient pas publiques..."
"Voici les photos prises dimanche matin. Ce n'est pas très spectaculaire car les bouteilles sont dispersées. Mais il y en avait quand même un certain nombre : bière, bien sûr, mais aussi Kriter, Whisky, Vodka, de quoi saouler un régiment...
"J'en ai discuté avec une jeune femme qui a deux petites filles. Elle vient régulièrement au square et m'a dit qu'il fallait être très vigilant car il y a des bouteilles d'alcool encore à moitié pleines et beaucoup de verre cassé. Il y a donc là aussi un risque potentiel pour les jeunes enfants."
Les demandes des habitants pour faire intervenir le TOP on été refoulées : "le TOP intervient pendant les heures de bureau" aurait répondu M. Falconnet, Président du TOP.
Il semblait pourtant qu'il y avait là une bonne action de prévention à mettre en place.
La personne me précise enfin : "Ne croyez pas que vous soyez le premier à qui j'en parle. J'ai essayé d'en parler au conseil de quartier mais ce jour là, on m'avait priée de partir sous prétexte que leurs réunions n'étaient pas publiques..."
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