Pour illustrer "la situation catastrophique de l'insécurité à Vénissieux" évoquée dans mon communiqué de presse du 8 février dernier je vous laisse découvrir sur la photo ce-joint ce qu'il reste d'un poteau sur lequel était installée une caméra de vidéo-surveillance à l'intersection du Chemin du charbonnier et de la rue Max-Barel. Mais chut !, ne le dites à personne, Madame Picard explique toujours aux Vénissians que les lieux d'implantation des caméra doivent rester secrets... A priori, cela vaut seulement pour les honnêtes gens, d'autres n'ont pas de difficulté à les repérer.
Depuis le temps que j'explique à Mme Picard qu'aujourd'hui la technologie permet de mettre des caméras invisibles... mais pour cela il faut VOULOIR que les choses changent.
Pour notre part, c'est notre cas.
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