jeudi 15 mars 2018

Droit de réponse aux incriminations mensongères de la section PCF de Vénissieux


Communiqué de Presse

Ayant été directement incriminé par la section PCF de Vénissieux dans l'article paru ce jour dans Le Progrès, je demande un droit de réponse.

Je déments officiellement et formellement pour ce qui me concerne et pour les membres de mon groupe que dans le cadre des manifestations des Parents d’élèves devant l’Hôtel de Ville demandant la concertation sur les rythmes scolaires nous ayons mené ou encouragé des slogans "dégagistes" et que nous ayons été à l'origine de quelques "insultes, provocations ou mensonges" que ce soit. Ces propos tenus par les Communistes, repris dans l'article du Progrès, sont faux, mensongers et même calomnieux à notre encontre, voire diffamatoires.

Madame PICARD et ses camarades, tentent, une fois de plus, de jouer sur le registre de leur victimisation, des amalgames et de l'intimidation. C'est justement cette façon de faire qui est nauséabonde et inacceptable.

Madame PICARD doit assumer ses actes. Si les parents en sont venus à exprimer avec force des slogans de type "Picard au Placard" ou "Vénissieux dictature", ce n'est qu'a elle même qu'elle doit s'en prendre. Les Parents d'élèves ont été exaspérés par son refus aussi catégorique qu'injustifié de les recevoir ou seulement de les entendre. C'est son mépris, son refus obstiné du dialogue qui ont logiquement déclenché cette agressivité et ces slogans dénonçant son déni de démocratie. Nous en avons été témoin, mais en rien acteur.

Quand à parler d'instrumentalisation de la question des rythmes scolaires de notre part, je me permets de rappeler à tout un chacun, et tout particulièrement à Mme le Maire, que mon opposition à cette réforme à toujours été affirmée et assumée, et cela depuis sa mise en place dès 2014. Les écrits et les enregistrements vidéos sont là pour le prouver.

Aujourd'hui, c'est donc en toute logique et cohérence que je soutien ce mouvement des parents d'élèves et enseignants. N'en déplaise à Mme PICARD, c'est mon droit et même mon devoir d'élu. Je soutien ce mouvement d'autant plus que leur demande est totalement légitime et saine puisqu'ils ne demandent pas que l'on impose la semaine des 4 jours, mais que soit mis en place une concertation rapide. Cette demande est de plus réalisable puisqu'elle a été mise en œuvre dans la très grande majorité des villes de France. Cela demande "juste" de ne pas avoir peur de la démocratie et de respecter les parents dans leur rôle de premier et principal éducateur de leurs enfants...

Je demande donc instamment à Mme PICARD de mettre un terme à cette perverse dialectique du mensonge et de s'engager à démentir publiquement les contre-vérités qui ont été proférés par le PCF vénissian à notre encontre.

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