Comme vous avez pu l'apprendre ce jour, j'ai accepté d'être le suppléant
de Doriane Corsale (Première adjointe LR de Saint-Priest) pour ces
élections législatives.
Cela mérite quelques explications...
L'article du Progrès de ce jour est très succinct et n'a pu reproduire l'ensemble des propos que j'ai exposé lors de l'interview.
En premier lieu je tiens à réaffirmer que jusqu'à lundi dernier rien n'était arrêté me concernant, et surtout, que mon positionnement n'est pas contre Maurice Iacovella, mais POUR la 14ème circonscription.
Nous sommes tous conscient du mal fait à notre pays par M. Hollande et son gouvernement. M. Blein cautionne totalement les errements de ce gouvernement et son "action" en tant que député est un triste alignement sur une approche déplorable de la politique du PS. Ce député fantôme, comme l'appel les habitants de la circonscription, a été absent sur le terrain et un bien piètre défenseur de notre bien commun. Son ambiguïté maladive se révèle encore aujourd'hui, dans sa soit-disant non décision, quant à son position sur son soutien aux présidentielles. Après avoir fustiger et fait écarter avec force de l'organisation des primaires David Kimelfeld, secrétaire du PS du Rhône pour son soutien à Macron (ce qui était cohérent), il nous explique qu'il ne soutien pas Hamon et prend position sans le dire pour Macron (ce qui n'est plus du tout cohérent). Voilà une illustration de l'incohérence et de la couardise de celui qui est "notre" député et qui ose se présenter aux électeurs à nouveau comme candidat.
Il est évident qu'il faut aujourd'hui tout mettre en œuvre pour battre ce candidat fantoche.
C'est en ce sens que j'ai rejoint Doriane Corsale, car elle représente la seule force de rassemblement pour aller à cette victoire nécessaire.
Il se trouve qu'après analyse, Doriane mobilise derrière elle un très large soutien des militants et des élus locaux, y compris UDI, de la 14ème circonscription et qu'une très large majorité auraient relâchés leur implication s'il n'y avait eu que la candidature de Maurice. Un dictat du national n'a jamais suffit à créer l'adhésion et la dynamique, et cela encore moins aujourd'hui tant la simple logique de parti ne suffit plus. Or, pour gagner il est indispensable de créer l'adhésion et la dynamique.
Ce n'est donc absolument pas contre Maurice que j'ai pris cette décision difficile, d'autant plus que, et je tiens à le réaffirmer ici, nous avons Maurice et moi une très bonne coopération au sein de notre groupe au conseil municipal de Vénissieux.
Par le passé, comme aujourd'hui, plusieurs membres de notre groupe ont pu être "concurrents" au plan nationale (candidats législatives), sans que cela ne nous empêche de bien travailler ensemble au plan locale.
Pour ce qui est des législatives 2017, le premier tour permettra de clarifier là où se trouve la dynamique. Le deuxième tour permettra de confirmer cette dynamique de victoire.
Un principe qui respecte les fondements de la démocratie face aux logiques de parti.
Je souhaite et m'engage à tout faire pour qu'un esprit de respect mutuel anime cette campagne et que l'on ne perde jamais de vue les vrais adversaires sur notre circonscription et au plan national.
Bien cordialement,
Christophe GIRARD
Cela mérite quelques explications...
L'article du Progrès de ce jour est très succinct et n'a pu reproduire l'ensemble des propos que j'ai exposé lors de l'interview.
En premier lieu je tiens à réaffirmer que jusqu'à lundi dernier rien n'était arrêté me concernant, et surtout, que mon positionnement n'est pas contre Maurice Iacovella, mais POUR la 14ème circonscription.
Nous sommes tous conscient du mal fait à notre pays par M. Hollande et son gouvernement. M. Blein cautionne totalement les errements de ce gouvernement et son "action" en tant que député est un triste alignement sur une approche déplorable de la politique du PS. Ce député fantôme, comme l'appel les habitants de la circonscription, a été absent sur le terrain et un bien piètre défenseur de notre bien commun. Son ambiguïté maladive se révèle encore aujourd'hui, dans sa soit-disant non décision, quant à son position sur son soutien aux présidentielles. Après avoir fustiger et fait écarter avec force de l'organisation des primaires David Kimelfeld, secrétaire du PS du Rhône pour son soutien à Macron (ce qui était cohérent), il nous explique qu'il ne soutien pas Hamon et prend position sans le dire pour Macron (ce qui n'est plus du tout cohérent). Voilà une illustration de l'incohérence et de la couardise de celui qui est "notre" député et qui ose se présenter aux électeurs à nouveau comme candidat.
Il est évident qu'il faut aujourd'hui tout mettre en œuvre pour battre ce candidat fantoche.
C'est en ce sens que j'ai rejoint Doriane Corsale, car elle représente la seule force de rassemblement pour aller à cette victoire nécessaire.
Il se trouve qu'après analyse, Doriane mobilise derrière elle un très large soutien des militants et des élus locaux, y compris UDI, de la 14ème circonscription et qu'une très large majorité auraient relâchés leur implication s'il n'y avait eu que la candidature de Maurice. Un dictat du national n'a jamais suffit à créer l'adhésion et la dynamique, et cela encore moins aujourd'hui tant la simple logique de parti ne suffit plus. Or, pour gagner il est indispensable de créer l'adhésion et la dynamique.
Ce n'est donc absolument pas contre Maurice que j'ai pris cette décision difficile, d'autant plus que, et je tiens à le réaffirmer ici, nous avons Maurice et moi une très bonne coopération au sein de notre groupe au conseil municipal de Vénissieux.
Par le passé, comme aujourd'hui, plusieurs membres de notre groupe ont pu être "concurrents" au plan nationale (candidats législatives), sans que cela ne nous empêche de bien travailler ensemble au plan locale.
Pour ce qui est des législatives 2017, le premier tour permettra de clarifier là où se trouve la dynamique. Le deuxième tour permettra de confirmer cette dynamique de victoire.
Un principe qui respecte les fondements de la démocratie face aux logiques de parti.
Je souhaite et m'engage à tout faire pour qu'un esprit de respect mutuel anime cette campagne et que l'on ne perde jamais de vue les vrais adversaires sur notre circonscription et au plan national.
Bien cordialement,
Christophe GIRARD
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