Dans un article du Progrès paru hier sous le titre « Arrêtons avec la fable du loup solitaire », M. Gerin nous raconte une autre fable : celle de son combat contre l'islamisme.
D'aucun qui connait le bonhomme, sait que la vérité de son bilan est bien différente. Cet homme du double langage a, la même année, soutenu le combat contre la burqa et la mise en place de la mosquée Millî Görüs à Vénissieux (il vous suffit de taper Millî Görüs sur internet pour comprendre à qui l'on a à faire). Cet homme spécialiste de l'enfumage (expert en dialectique communiste) dont tant de Vénissians dénoncent ses visites électorales aux mosquées, etc...
La vérité est que M. Gerin n'est ni plus ni moins qu'un pompier-pyromane. Cet homme par son combat politique à toujours déconstruit la société française et plus particulièrement celle de Vénissieux. Il se pose en donneur de leçon, mais le "ghetto de la République" qu'il dénonce, n'est que le fruit de sa politique laxiste et de pourrissement de la ville durant ses 26 ans de mandat.
Alors oui, il pose de vraies questions, il présente de justes constats, mais, que diable !, quand il nous explique sans honte que "si on ne nomme pas la maladie,
on ne peut ni la combattre, ni la soigner", il serait temps qu'il s'applique ce conseil à lui-même. Un peu de pudeur et d'auto-critique le rendrait certainement plus crédible.
Cf. article de juillet 2009 :Burqa, Gerin un pompier-pyromane ?
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