Quand mandat après mandat, nous ne cessons de dire que le management de la municipalité de Vénissieux est déplorable, la CGT de la ville l'illustre. C'est ce que l'on appelle "dire les choses sur tous les tons".
Fin mai, c'est dans le Progrès que l'on peut lire les propos de Mme Christelle Alcaraz (CGT Mairie-de-Vénissieux) qui révèlent que l'on ne voit pas la vie en rose quand on travail chez les rouges : "Il y a des questions autour des conditions de travail qui n’ont pas été réglées en temps et en heure. La Ville demande toujours plus aux personnels et doit se poser des questions. Elle récolte ce qu’elle a semé[...]."
Fin mai, c'est dans le Progrès que l'on peut lire les propos de Mme Christelle Alcaraz (CGT Mairie-de-Vénissieux) qui révèlent que l'on ne voit pas la vie en rose quand on travail chez les rouges : "Il y a des questions autour des conditions de travail qui n’ont pas été réglées en temps et en heure. La Ville demande toujours plus aux personnels et doit se poser des questions. Elle récolte ce qu’elle a semé[...]."
Cette fois, c'est avec un certain humour. En témoigne ce tract... sur papier jaune, comme le rire de ceux qui en ont ras-le-bol (visiblement la gloire de Mme Picard pour "ses" 4 fleurs ne semble pas retomber sur ses vrais auteurs...).
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