Lorsqu'une personne âgée dépendante est victime d'une invasion de punaises de lit, le CCAS de Vénissieux l'accable encore un peu plus en lui supprimant la livraison de ses repas et l’aide de son auxiliaire de vie. Voilà ce qu'aurait vécu une personne âgée habitant les Minguettes. C'est tout simplement, le rétablissement de la double peine, sauce majorité municipale.
Bizarrement les versions varient entre les propos de la famille et ceux de la mairie. Mais étant désormais un vieil habitué des mensonges de la municipalité et de leur capacité à nier la réalité, j'aurais plus confiance en la famille qu'en des justifications du directeur des services se substituant à l'élue en charge de ce dossier.
Quoi qu'il en soit, ce qui a tout l'air d'être une scabreuse manœuvre de plus de la part de la municipalité est conforme à leurs méthodes habituelles et du bien peu de cas qu'ils font des personnes et de leurs soucis de vie. Les revirements de versions de la mairie elle même, qui finalement propose, devant le scandale, de réintégrer le service de cette personne, montre bien que par ce cafouillage qu'a priori rien n'a été fait avec bon sens et humanisme dans cette affaire. Il aura fallu que les choses se sachent et que le scandale éclate pour que l'on arrive finalement à une solution acceptable. Triste illustration de la continuité du "système" en place à la mairie de Vénissieux depuis des années.
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