Le Progrès, a produit un article dans l'édition de ce jour faisant suite à notre communiqué de presse sur le bluffe de M. Gerin au sujet du soutien des Veninov et de sa fausse ouverture aux autres groupes politiques. Interrogé en retour, l'ex-député, visiblement à court d'argument, se livre à un pathétique dénigrement où il se place lui-même dans le registre du "ce n'est pas moi c'est lui". Ce qui ne l'empêche pas de mentir délibérément en disant que les Veninov ne me voit jamais. Une bien piteuse performance pour un ex-baron de la politique (sans doute est-il réduit à cela depuis qu'il n'a plus de sbires payés par la république pour lui faire ses argumentaires...). Une performance d'autant plus piteuse au regard de la gravité de la situation : les ex-salariés viennent de refuser le protocole d'accord du repreneur autrichien.
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