samedi 13 avril 2013

Mme Ebersvillers et la municipalité : le cynisme et la calomnie comme seules lignes de défense

Communiqué de presse
Dans l'affaire de la Sacoviv, il est impressionnant que la seule défense de Mme Ebesrvillers soit l'incantation.
Depuis des années, le personnel exprime sa souffrance et les éléments factuels graves s'accumulent.
Depuis des années les locataires constatent des irrégularités dans les charges, se plaignent de manque de considération, etc.
Face à leurs exaspérations, Mme Ebersviller a le cynisme et l'affront d'affirmer dans le Progrès (du 12 avril 2013), sans la moindre remise en cause personnelle : "Nous avons une gestion sociale, tant vis à vis de nos locataires que de nos salariés" et même d'ajouter "et nous la revendiquons" ! Les personnels de la Sacoviv et les locataires en lutte pour se faire tout simplement respecter, apprécieront à juste titre cette "gestion sociale revendiquée" ! 
Par ailleurs, Mme Ebesrvillers, et M. Thivilier en renfort, se permettent de calomnier les fonctionnaires de la Miilos, les accusant de "malhonnêteté intellectuelle", voire ("peut-être"...) de complot politique. Il est extraordinaire de voir que quelques soient les personnes ou les organismes qui les remettent en cause, que ce soit des syndicalistes CGT ou CFDT, une association de locataires, du personnel, des habitants exaspérés, et maintenant une mission interministérielle, ce sont toujours des suppos d'un complot politique ! La ficelle est grosse, mais efficace car elle transforme les bourreaux en victimes (une dialectique qui a fait ses preuves dans une triste histoire et visiblement continue à faire recette)…
Cette façon de se réfugier dans le cynisme et les attaques calomnieuses sont révélatrices de cette incapacité caractéristique des idéologues à se remettre en cause et à prendre les difficultés dans leur réalité. Pendant ce temps les problèmes restent non traités. De toute évidence, le calvaire du personnel et des locataires de la Sacoviv n'est pas près de finir.

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