Nous tenons en premier lieu à dire toute notre solidarité et tout notre soutien à cet animateur agressé et à toute l'équipe de l'EPJ. Nous souhaitons le prompte rétablissement de cet animateur, tant sur le plan physique que sur le plan émotionnel. A travers lui, nous voulons saluer le courage et l'engagement des nombreux animateurs qui sur l'ensemble de notre ville sont au service des habitants et dont très souvent l'implication personnelle dépasse celle des simples obligations du travail.
L'agression de l'animateur de l’Équipement polyvalent jeunes (EPJ) du quartier de La Pyramide de mercredi dernier, tant par sa violence que la méthode est des plus inquiétantes. Après les coups de couteaux mortels d'octobre dernier à quelques enjambées de là (Darnaise), la violence de ces quatre individus cagoulés (quelle lâcheté !) et de surcroît sur le lieu de travail de fonctionnaires, apparaissent comme des dérives de plus en plus incontrôlée. Les "condamnations sans appel", les déclarations "outrées" et les "souhaits" de Mme le maire, ne sont plus suffisants. Ce sont des remises en cause qui sont désormais nécessaires. Ceux qui ont le pouvoir depuis trop longtemps, pérorent dans des livres et regrette la "ghettoïsation", mais n'est-elle pas le fruit de leur politique ? En tout cas, les résultats sont là et chacun devrait prendre ses responsabilités.
Cf. Article :
- Cela sonne juste, mais résonne faut
- Duel entre Mme Picard et M. le préfet Gérault : le rappel à la loi des "Don Quichotte"
L'agression de l'animateur de l’Équipement polyvalent jeunes (EPJ) du quartier de La Pyramide de mercredi dernier, tant par sa violence que la méthode est des plus inquiétantes. Après les coups de couteaux mortels d'octobre dernier à quelques enjambées de là (Darnaise), la violence de ces quatre individus cagoulés (quelle lâcheté !) et de surcroît sur le lieu de travail de fonctionnaires, apparaissent comme des dérives de plus en plus incontrôlée. Les "condamnations sans appel", les déclarations "outrées" et les "souhaits" de Mme le maire, ne sont plus suffisants. Ce sont des remises en cause qui sont désormais nécessaires. Ceux qui ont le pouvoir depuis trop longtemps, pérorent dans des livres et regrette la "ghettoïsation", mais n'est-elle pas le fruit de leur politique ? En tout cas, les résultats sont là et chacun devrait prendre ses responsabilités.
Cf. Article :
- Cela sonne juste, mais résonne faut
- Duel entre Mme Picard et M. le préfet Gérault : le rappel à la loi des "Don Quichotte"
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