Communiqué de presse 24 nov. 2012
SACOVIV : Le ciel s'assombrit chaque jours un peu plus... |
Ludovic Chatelain, responsable du "Pôle Locatif et Social" et membre du comité de Direction de la SACOVIV, les à reçu afin d’essayer de répondre à leurs questions. Il n’avait même pas eu connaissance du compte rendu complété par « la Voix des Locataires » et remis en septembre dernier (cf. Conseil Municipal du 1er octobre 2012).
Sa réponse a été des plus significatives puisqu’il leur a indiqué que ce compte rendu avait été remis à la mauvaise personne car Mme Ebersviller n’est que la représentante et non salariée de la SACOVIV. Comme le dit le proverbe, "le poisson pourrit toujours par la tête". Si Mme Ebersviller, Présidente Directrice Générale de la SACOVIV ne fait pas suivre ce type de rapport à ses équipes, la démonstration est faite que le " je-m’en-foutisme " et le mépris envers les locataires viennent du plus haut.
Face ce comportement inadmissible, je prends mon rôle d'élu pour tenter de donner un écho aux revendications de ces locataires acculés au mutisme et à l'inertie d'un système qui a perdu le sens de sa vocation.
Il n'est pas possible de dissocier ce constat de celui de la souffrance du personnel de la SACOVIV. Encore une fois se confirme mon affirmation régulièrement répétée : Service aux locataires et bien être des salariés se conjuguent et ne s'opposent pas. Les membres de "la Voix des Locataires" ne s'y trompent pas puisqu'ils se déclarent solidaires des gardiens de la SACOVIV qui sont pris en tampon entre une direction qui se désintéresse visiblement des demandes d'intervention qu'ils font remonter et le mécontentement des habitants qui perdent patience.
Plus fondamentalement il se dessine clairement que les difficultés de la SACOVIC reposent avant tout sur un problème de management et de gouvernance. Problème qu'il faut rapprocher des situations identiques rencontrées par exemple à la Médiathèque ou au sein du personnel de la mairie. Pour notre part nous sommes convaincus que le sectarisme des équipes en place est la racine commune de tous ces maux."
Christophe GIRARD
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