Comme l'ensemble des élus de la municipalité (majorité et opposition), notre Groupe a été en diffusion d'une abondante documentation envoyée par Mme Isabelle Rivoire, la visiblement très courageuse Présidente de l'association de défense des locataires UNLI Vénissieux. Excédée par le manque de prise en considération de son combat pour défendre les locataires de la Résidence Jacques Duclos elle est en but avec la SACOVIV (société propriétaire de la Résidence J. Duclos) et Mme le Maire (la SACOVIV étant contrôlée par la ville de Vénissieux et Mme Evelyne Ebersviller, adjointe PCF, en assurant la présidence…).
Ces rapports sont accablants pour la municipalité (cf. ci-dessous). Ils mettent en lumière un grand nombre de dysfonctionnements lourds et la gestion hasardeuse de cette organisation : au fur et à mesure de la lecture on découvre une accumulation d'inacceptables négligences, d'inexactitudes et la lâcheté des responsables. Et bien sûr ce sont les locataires qui supportent les frais de cette gestion déplorable : il est question de pas moins de 290.000 € de sommes indûment payée par les locataires (deux cent quatre-vingt dix mille euros, deux millions de francs), sans compter des conditions de vie inacceptables voire dangereuses (risque d'être ébouillanté, un délais de 6 ans pour commencer à envisager la réparation d'un parquet défectueux, un chauffage qui fonctionnent en pleine été et qui est facturé, des installations techniques produisant des nuisances sonores insupportables, etc.) et également des choix techniques soi-disant prometteurs d'économies et qui se révèlent multiplier les charges par 6 ! Face à tout cela, une municipalité et une SACOVIV qui accumulent les promesses non tenues et les stratégies lamentables pour se défausser de leurs obligations…
Serait-ce l'image que se fait la SACOVIV de ses locataires ? |
Ces rapports sont accablants pour la municipalité (cf. ci-dessous). Ils mettent en lumière un grand nombre de dysfonctionnements lourds et la gestion hasardeuse de cette organisation : au fur et à mesure de la lecture on découvre une accumulation d'inacceptables négligences, d'inexactitudes et la lâcheté des responsables. Et bien sûr ce sont les locataires qui supportent les frais de cette gestion déplorable : il est question de pas moins de 290.000 € de sommes indûment payée par les locataires (deux cent quatre-vingt dix mille euros, deux millions de francs), sans compter des conditions de vie inacceptables voire dangereuses (risque d'être ébouillanté, un délais de 6 ans pour commencer à envisager la réparation d'un parquet défectueux, un chauffage qui fonctionnent en pleine été et qui est facturé, des installations techniques produisant des nuisances sonores insupportables, etc.) et également des choix techniques soi-disant prometteurs d'économies et qui se révèlent multiplier les charges par 6 ! Face à tout cela, une municipalité et une SACOVIV qui accumulent les promesses non tenues et les stratégies lamentables pour se défausser de leurs obligations…
Judicieusement, Mme Isabelle Rivoire (Présidente de l'UNLI) dénoncent l'inacceptable mascarade de Mme le Maire au sujet des plafonds de la Résidence Aulagne. Car au lieu de régler les problèmes de la SACOVIV dont elle a la responsabilité directe, Mme Picard, à grands renforts de presse, va se faire donneuse de leçons chez les autres. Prenant pour la circonstance son "costume de défenseure des petits", elle se montre intraitable pour exiger du bailleur (l'OPAC) des dispositions que celui-ci avait déjà prises ! De virulents moulinets médiatiques pour enfoncer des portes déjà ouvertes... Cela pourrait prêter à rire, si ce n'était des locataires vénissians qui en faisaient les frais !
Articles déjà publiés à ce sujet :
- Mme le maire ferait-elle le tri entre les associations de locataires ?
- Chaufferie de Vénissieux, hausse des factures : des locataires en colère contre la municipalité
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire