De retour de la Commission Générale du 26/02/09
Lors de cette commission étaient évoquées : la taxe professionnelle et la fiscalité locale, la réforme des collectivités territoriales, la Révision Générale des Politiques Publiques, etc...
Cela peut paraître bizarre, mais ce soir j'étais loin d'être en désaccord avec tout ce que j'ai entendu. Cependant les simplifications idéologiques, l'extrémisme des propos et la déformation des faits et chiffres m'ont coupés toute envie d'intervenir. Une telle approche ruine en effet tout espoir de dialogue intelligent et constructif.
Par ailleurs, en quoi un tel "débat" aura fait progresser la cause des Vénissians ? Contrairement à ce qu'avait annoncé M. Gerin, les seules choses concrètes de cette soirée ont finalement été des applaudissements... Alors que les difficultés des vénissians sont bien réelles et toujours là, je dirais que ce comportement procède même d'une certaine lâcheté, car ces discours ne font que donner l'illusion d'un engagement alors qu'ils ne sont que des mots.
En repartant, j'ai été interpellé par les propos d'une personne venue parce qu'elle était initialement intéressée par le sujet de cette rencontre et qui repartait très déçue du fait du caractère "stérile de ces débats purement idéologiques" (se sont ses propres mots). Elle se promettait de ne plus revenir. Cette personne ne fera décidément pas parti de l'irréductible "fan club" de M. Gerin.
Christophe Girard
Lors de cette commission étaient évoquées : la taxe professionnelle et la fiscalité locale, la réforme des collectivités territoriales, la Révision Générale des Politiques Publiques, etc...
Cela peut paraître bizarre, mais ce soir j'étais loin d'être en désaccord avec tout ce que j'ai entendu. Cependant les simplifications idéologiques, l'extrémisme des propos et la déformation des faits et chiffres m'ont coupés toute envie d'intervenir. Une telle approche ruine en effet tout espoir de dialogue intelligent et constructif.
Par ailleurs, en quoi un tel "débat" aura fait progresser la cause des Vénissians ? Contrairement à ce qu'avait annoncé M. Gerin, les seules choses concrètes de cette soirée ont finalement été des applaudissements... Alors que les difficultés des vénissians sont bien réelles et toujours là, je dirais que ce comportement procède même d'une certaine lâcheté, car ces discours ne font que donner l'illusion d'un engagement alors qu'ils ne sont que des mots.En repartant, j'ai été interpellé par les propos d'une personne venue parce qu'elle était initialement intéressée par le sujet de cette rencontre et qui repartait très déçue du fait du caractère "stérile de ces débats purement idéologiques" (se sont ses propres mots). Elle se promettait de ne plus revenir. Cette personne ne fera décidément pas parti de l'irréductible "fan club" de M. Gerin.
Christophe Girard
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