De retour de la cérémonie des Vœux du maire... une fois n'est pas coutume, je me permets de répondre au diatribes idéologiques de notre maire.
Hier, M. Gerin nous a livré sa vision de la crise et nous avons pu déceler dans son expression une certaine jouissance revancharde : pouvoir étaler le constat actuel des limites du capitalisme sauvage semblait le réconforter de l'humiliation de l'effondrement de son propre système idéologique depuis les années 80-90 .
Force est de constater que M. Gerin est résolument un homme du passé. Face au mondialisme, M. Gerin n'a rien d'autre à nous offrir qu'un internationalisme réchauffé. A un problème actuel, il ne sait opposer que des souvenirs nostalgiques (1936, 1946,…) et prôner sa solution marxiste périmées. Solution qui a pourtant partout démontré par l'expérience sa férocité destructrice conduisant systématiquement à la misère morale, économique et sociale.
En ce début d'année, nous conseillons à M. Gerin de reprendre la lecture du discours prononcé par Soljenitsyne devant l’université de Harvard en 1978. Discours que notre Maire affirme aimer, mais dont il n'a, selon toute évidence, que très partiellement (partialement ?) assimilé le contenu. Soljenitsyne y appelle à dépasser le communisme qu'il condamne sans concession et également le monde occidental gangrené par un même matérialisme destructeur.
Pour ma part, j'adhère totalement à ce texte prophétique qui appelle au dépassement des luttes idéologiques et constitue la seule vraie ligne politique d'avenir.
Hier, M. Gerin nous a livré sa vision de la crise et nous avons pu déceler dans son expression une certaine jouissance revancharde : pouvoir étaler le constat actuel des limites du capitalisme sauvage semblait le réconforter de l'humiliation de l'effondrement de son propre système idéologique depuis les années 80-90 .
Force est de constater que M. Gerin est résolument un homme du passé. Face au mondialisme, M. Gerin n'a rien d'autre à nous offrir qu'un internationalisme réchauffé. A un problème actuel, il ne sait opposer que des souvenirs nostalgiques (1936, 1946,…) et prôner sa solution marxiste périmées. Solution qui a pourtant partout démontré par l'expérience sa férocité destructrice conduisant systématiquement à la misère morale, économique et sociale.
En ce début d'année, nous conseillons à M. Gerin de reprendre la lecture du discours prononcé par Soljenitsyne devant l’université de Harvard en 1978. Discours que notre Maire affirme aimer, mais dont il n'a, selon toute évidence, que très partiellement (partialement ?) assimilé le contenu. Soljenitsyne y appelle à dépasser le communisme qu'il condamne sans concession et également le monde occidental gangrené par un même matérialisme destructeur.
Pour ma part, j'adhère totalement à ce texte prophétique qui appelle au dépassement des luttes idéologiques et constitue la seule vraie ligne politique d'avenir.
Christophe GIRARD
A lire... Le Déclin du courage, Harvard, 8 juin 1978 - Extraits
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