Les habitants rencontrés sont exaspérés par le délaissement de la SACOVIV et la dégradation de la situation de mois en mois. Ils sont également exaspéré par le manque totale d'écoute et de compréhension de la part du Directeur [adjoint] de la SACOVIV qui a proposé au personnes qui n'étaient pas contente de la situation d'aller se loger ailleurs: "vous n'avez qu'a déménager" leur a-t-il envoyé à la figure. Une exaspération pourtant compréhensible quand on apprend que pendant deux jours, suite aux dégâts de l'incendie, les habitant de cette immeuble de 12 étages ont du monté les escaliers dans l'obscurité avec pour toute lumière leurs seules lampe de poche... Il n'était pourtant pas difficile de faire une installation provisoire... En poursuivant la conversation, on apprends encore que l’ascenseur incendié le 24 mars est resté portes entrebâillée (30 cm), sans être mis en sécurité (soit disant en attendant l'expert) pendant près d'un mois !
Il m'a alors été indiqué qu'il était prévu une réunion informelle des
locataires à11h30 dans le hall et que j'y étais convié. Les locataires
souhaitaient signer en commun une lettre ouverte à Mme le Maire... Je
suis donc revenu à 11h30. Les informations recueillies lors des échanges
avec les nombreux locataires présents ont permis, si cela était encore
nécessaire, de confirmer que les fonctionnaires de la MIILOS ne
faisaient pas preuve de "malhonnêteté intellectuelle" dans leur rapport
comme voulait nous le faire croire M. Thivilier. Les habitants
apprécieront à leur juste valeur le dénie des problèmes de la SACOVIV
exprimé par M. Guyard quand il expliquait au journaliste du Progrès :
"Ce sont des appréciations subjectives". "Rien ne peut nous être
reproché techniquement"... En tout état de cause, nous pouvons encore
prendre mesure concrètement de la gestion sociale des locataires dont se
revendique Mme Ebersviller.
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