Il est des sujets où se taire peut avoir des conséquences d'une gravité extrême et irréversibles. Dans ce cas le silence et l'inaction engagent notre responsabilité, cela peut même relever de la non-assistance à personne en danger.
Avant qu'il ne soit trop tard, je souhaite à nouveau attirer avec gravité l'attention sur la souffrance actuelle du personnel au sein de la SACOVIV. En aucun cas je ne laisserai dire qu'il s'agit d'une polémique.
Interpellé à nouveau par plusieurs sources différentes (internes et externes), il est plus que temps de donner l'alerte (rappelons qu'en septembre 2012 la médecine du travail faisait part dans un courrier de son inquiétude pour "la santé mentale et secondairement physique" des salariés).
Lundi 4 février dernier, sur le coup de 11h quelques 25 personnes ont envahi le hall de la mairie de Vénissieux (quinze membres de la CFDT s'ajoutant aux dix salariés qu'ils sont venus soutenir). Ces dix salariés, à bout, bravant les risques de brimades et autres actions de rétorsion, font preuve d'un courage et d'une détermination exemplaire pour représenter leurs collègues. Les risques qu'ils acceptent d'encourir donnent la mesure de leur exaspération. Ces 25 manifestants souhaitaient faire savoir que depuis le 26 novembre 2012, jour où il leur avait été promis par les responsables de la SACOVIV et des élus de la majorité que des moyens allaient être mis en œuvre pour faire changer les choses, rien n'a été fait. Au contraire les brimades et humiliations continuent. Par exemple, dans le contexte de tension actuelle entre les salariés et le directeur, on nous rapporte que la dernière trouvaille de celui-ci est de faire passer les employés dans son bureau pour recevoir leur paie de sa main…
Quinze jours après cette manifestation, toujours personne ne s'en est fait l'écho, ni la presse locale qui avait été prévenue, ni au sein de la municipalité. Pour ces salariés, c'est le coup de grâce. Démunis ils sentent leurs forces les délaisser avec la sombre perspective que l'un d'entre eux aille trop loin…
Pour information, à tous ceux qui usent de l'argument de la division du personnel, il nous a été signalé que les quelques personnes qui ont fait part de leur soutien au système en place, sont généralement, soit des personnes de l'encadrement, soit des personnes au statut précaire de CDD ou de nouveaux employés…
Il est vraiment temps que tout cela s'arrête avant qu'il ne soit trop tard.
Christophe GIRARD
Avant qu'il ne soit trop tard, je souhaite à nouveau attirer avec gravité l'attention sur la souffrance actuelle du personnel au sein de la SACOVIV. En aucun cas je ne laisserai dire qu'il s'agit d'une polémique.
Interpellé à nouveau par plusieurs sources différentes (internes et externes), il est plus que temps de donner l'alerte (rappelons qu'en septembre 2012 la médecine du travail faisait part dans un courrier de son inquiétude pour "la santé mentale et secondairement physique" des salariés).
Lundi 4 février dernier, sur le coup de 11h quelques 25 personnes ont envahi le hall de la mairie de Vénissieux (quinze membres de la CFDT s'ajoutant aux dix salariés qu'ils sont venus soutenir). Ces dix salariés, à bout, bravant les risques de brimades et autres actions de rétorsion, font preuve d'un courage et d'une détermination exemplaire pour représenter leurs collègues. Les risques qu'ils acceptent d'encourir donnent la mesure de leur exaspération. Ces 25 manifestants souhaitaient faire savoir que depuis le 26 novembre 2012, jour où il leur avait été promis par les responsables de la SACOVIV et des élus de la majorité que des moyens allaient être mis en œuvre pour faire changer les choses, rien n'a été fait. Au contraire les brimades et humiliations continuent. Par exemple, dans le contexte de tension actuelle entre les salariés et le directeur, on nous rapporte que la dernière trouvaille de celui-ci est de faire passer les employés dans son bureau pour recevoir leur paie de sa main…
Quinze jours après cette manifestation, toujours personne ne s'en est fait l'écho, ni la presse locale qui avait été prévenue, ni au sein de la municipalité. Pour ces salariés, c'est le coup de grâce. Démunis ils sentent leurs forces les délaisser avec la sombre perspective que l'un d'entre eux aille trop loin…
Pour information, à tous ceux qui usent de l'argument de la division du personnel, il nous a été signalé que les quelques personnes qui ont fait part de leur soutien au système en place, sont généralement, soit des personnes de l'encadrement, soit des personnes au statut précaire de CDD ou de nouveaux employés…
Il est vraiment temps que tout cela s'arrête avant qu'il ne soit trop tard.
Christophe GIRARD
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