C'est la rentrée : aux enfants l'école, à Gerin la pub électorale.
En tout cas, M. Gerin reprend le devant de la scène (conférence de presse de rentrée) avec un plaidoyer qui sonne juste à propos de la politique de sécurité du gouvernement (1). M. Gerin fustige le PS et le PC qui selon lui font fausse route en se bornant à diaboliser Nicolas Sarkozy dans le cadre du débat sur la sécurité : "Comment prétendre vouloir changer la vie, sans se préoccuper du bien-être et de la tranquillité des citoyens ? La gauche doit modifier son disque dur, cesser d'être le cul entre deux chaises. On peut traiter les problématiques de la sécurité sans stigmatiser, sans désigner de bouc émissaire, tout en regardant la réalité en face." Afin d'occuper durablement le devant de la scène politique, il annonce même son intention de prendre prochainement l'initiative d'un livre blanc sur la criminalité dans les cités. Belle initiative en apparence, mais Gerin encore une fois, en bon marketeur politique, dit des vérités que toute l'opinion veut entendre. Cependant cela résonne faux, car il faut rappeler que ses actes trahissent sa forfaiture. Comment ose-t-il parler de la sorte alors qu'il fait partie des acteurs principaux de cette déchéance des banlieues et de l'affaiblissement de l'état. En tant que militant révolutionnaire il est fier d'avoir combattu toute sa vie l'ordre (lire ses confessions indirectes dans son livre, les Ghettos de la République) et en tant que maire de Vénissieux pendant 24 ans, il n'a fait qu'accompagner la naissance d'un ghetto de la république de plus.
M. Gerin est vraiment un excellent communiquant, ce qui est très inquiétant quand on sait la puissance que cela peu donner à un homme de terrain destructeur et à son équipe.
En tout cas, M. Gerin reprend le devant de la scène (conférence de presse de rentrée) avec un plaidoyer qui sonne juste à propos de la politique de sécurité du gouvernement (1). M. Gerin fustige le PS et le PC qui selon lui font fausse route en se bornant à diaboliser Nicolas Sarkozy dans le cadre du débat sur la sécurité : "Comment prétendre vouloir changer la vie, sans se préoccuper du bien-être et de la tranquillité des citoyens ? La gauche doit modifier son disque dur, cesser d'être le cul entre deux chaises. On peut traiter les problématiques de la sécurité sans stigmatiser, sans désigner de bouc émissaire, tout en regardant la réalité en face." Afin d'occuper durablement le devant de la scène politique, il annonce même son intention de prendre prochainement l'initiative d'un livre blanc sur la criminalité dans les cités. Belle initiative en apparence, mais Gerin encore une fois, en bon marketeur politique, dit des vérités que toute l'opinion veut entendre. Cependant cela résonne faux, car il faut rappeler que ses actes trahissent sa forfaiture. Comment ose-t-il parler de la sorte alors qu'il fait partie des acteurs principaux de cette déchéance des banlieues et de l'affaiblissement de l'état. En tant que militant révolutionnaire il est fier d'avoir combattu toute sa vie l'ordre (lire ses confessions indirectes dans son livre, les Ghettos de la République) et en tant que maire de Vénissieux pendant 24 ans, il n'a fait qu'accompagner la naissance d'un ghetto de la république de plus.
M. Gerin est vraiment un excellent communiquant, ce qui est très inquiétant quand on sait la puissance que cela peu donner à un homme de terrain destructeur et à son équipe.
(1) Cf. article du progrès du 31aout 2010 : André Gerin (PCF) refuse la diabolisation de Nicolas Sarkozy (ou cliquer sur l'article pour l'agrandir)
1 commentaire:
Belle caricature, effectivement concernant le déballage d'andré gérin nous sommes sur la même longueur d'ondes. Dédé recherche une notoriété nationale qu'il n'aura jamais car il manque d'honnêteté dans ces discours et plus personne ne le croit, il ne lui reste plus qu'à rejoindre le camps qui ne pense qu'à la sécurité et à l'Islam, mais qui ne s'attaque pas au fond du problème
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